La création d’une entreprise, à partir d’une idée u d’un projet,
ainsi que son développement ne sont pas des processus linéaires, comme
on pourrait le penser de prime abord, mais un processus itératif.
Le dirigeant doit donc s’astreindre à bien définir et analyser ce processus, pour acquérir une Vision globale du fonctionnement de son entreprise.
Souvent, de façon spontanée, on restreint l’analyse de ce processus à sa partie centrale qui est bien évidemment l’exploitation proprement dite de l’entreprise.
Mais cette phase opérationnelle d’exploitation, doit toujours être précédée en amont d’une phase de validation stratégique, et toujours suivie en aval d’une phase d’analyse des résultats. L’enchainement de ces phases « boucle » en permanence.
Le dirigeant doit donc s’astreindre à bien définir et analyser ce processus, pour acquérir une Vision globale du fonctionnement de son entreprise.
Souvent, de façon spontanée, on restreint l’analyse de ce processus à sa partie centrale qui est bien évidemment l’exploitation proprement dite de l’entreprise.
Mais cette phase opérationnelle d’exploitation, doit toujours être précédée en amont d’une phase de validation stratégique, et toujours suivie en aval d’une phase d’analyse des résultats. L’enchainement de ces phases « boucle » en permanence.
1. La Phase de validation stratégique :
Comme pour toute analyse stratégique, elle comporte :
- Une étude du marché (attentes des clients, concurrence…), une
analyse des facteurs clés de succès ; pour aboutir au choix d’un
positionnement stratégique.
- Un plan d’actions en découle, au niveau marketing, au niveau technique, au niveau juridique ; le tout donnant lieu à une synthèse financière : le Business Plan.
- Un plan d’actions en découle, au niveau marketing, au niveau technique, au niveau juridique ; le tout donnant lieu à une synthèse financière : le Business Plan.
Cette phase d’analyse est valide pour valider le projet avant toute
création d’entreprise, et ensuite pour valider toute nouvelle
orientation ou modification dans le développement de l’entreprise.
Cette phase est de la responsabilité directe du gérant ou de la direction générale, en association avec les principaux cadres de l’entreprise.
Dans la pratique de la vie des PME on constate que si un intérêt faible ou nul est accordé à cette phase, l’entreprise est simplement « portée » par son marché, sans vision à moyen terme, et cela conduit dans la plupart des cas à une pérennité de l’entreprise faible avec, en corollaire, la perte pure et simple des capitaux engagés.
Cette phase est de la responsabilité directe du gérant ou de la direction générale, en association avec les principaux cadres de l’entreprise.
Dans la pratique de la vie des PME on constate que si un intérêt faible ou nul est accordé à cette phase, l’entreprise est simplement « portée » par son marché, sans vision à moyen terme, et cela conduit dans la plupart des cas à une pérennité de l’entreprise faible avec, en corollaire, la perte pure et simple des capitaux engagés.
2. La phase opérationnelle d’exploitation
Cette phase opérationnelle représente la phase de
mise en œuvre des décisions stratégiques élaborées dans la phase
précédente. De façon synthétique et non exhaustive, elle regroupe les
fonctions principales suivantes :
• Pour les entreprises de négoce
Marketing – commercial
Ventes – distribution
Ressources humaines
Financier
Juridique
Marketing – commercial
Ventes – distribution
Ressources humaines
Financier
Juridique
• Pour les entreprises industrielles
Marketing – commercial
R&D – études
Production – distribution
Ressources humaines
Financier
Juridique
Marketing – commercial
R&D – études
Production – distribution
Ressources humaines
Financier
Juridique
L’ensemble de ces fonctions s’articule autour de la Politique de
qualité de l’entreprise, qui leur sert de « colonne vertébrale »
Bien évidemment la taille de l’entreprise, ces fonctions seront plus ou moins formellement et complètement représentées.
Néanmoins cette phase d’exploitation fait normalement l’objet d’un organigramme de fonctionnement.
Bien évidemment la taille de l’entreprise, ces fonctions seront plus ou moins formellement et complètement représentées.
Néanmoins cette phase d’exploitation fait normalement l’objet d’un organigramme de fonctionnement.
3. La phase d’analyse des résultats
Cette phase est fondamentale dans le processus de
développement de l’entreprise, car elle seule permet de mesurer les
écarts entre « résultats obtenus » et « objectifs »
Bien souvent elle se limite à une analyse des seuls résultats financiers, même parfois limité au seul suivi de trésorerie.
Pourtant toutes les composantes de la valeur ajoutée de l’entreprise doivent être soumises à ce type d’analyse, en particulier :
Bien souvent elle se limite à une analyse des seuls résultats financiers, même parfois limité au seul suivi de trésorerie.
Pourtant toutes les composantes de la valeur ajoutée de l’entreprise doivent être soumises à ce type d’analyse, en particulier :
• L’impact des actions commerciales, la comparaison avec la concurrence….
• L’efficacité industrielle, au sens large du terme, c.a.d. de toutes les actions contribuant à la production et/ ou la diffusion du produit fini,
• Les paramètres comptables et financiers, non seulement la rentabilité et les éléments du compte de résultat mais également la structure du bilan,
• Le résultat de toutes les décisions prises au plan contractuel et juridique.
Cette analyse permet de détecter deux types d’information :
• Des écarts, entre résultats attendus et résultats obtenus, dont les causes doivent être circonscrites et conduire à des plans d’actions à appliquer au niveau opérationnel,
• Des nouveautés ou des modifications de l’environnement, dont la maitrise implique une réflexion au plan stratégique.
• L’efficacité industrielle, au sens large du terme, c.a.d. de toutes les actions contribuant à la production et/ ou la diffusion du produit fini,
• Les paramètres comptables et financiers, non seulement la rentabilité et les éléments du compte de résultat mais également la structure du bilan,
• Le résultat de toutes les décisions prises au plan contractuel et juridique.
Cette analyse permet de détecter deux types d’information :
• Des écarts, entre résultats attendus et résultats obtenus, dont les causes doivent être circonscrites et conduire à des plans d’actions à appliquer au niveau opérationnel,
• Des nouveautés ou des modifications de l’environnement, dont la maitrise implique une réflexion au plan stratégique.
Ces analyses doivent donc être effectuées à tous les niveaux de
l’entreprise, et par essence avec des périodicités très variables, qu’il
est pourtant très souhaitable de planifier.
Il faut ensuite transmettre les conclusions au niveau de décision compétent et apte à prendre les décisions, lesquelles devront ensuite être retransmises au niveau opérationnel apte à les mettre en œuvre.
Ces échanges font partie du cœur du système d’information de l’entreprise, dont on comprend dès lors le caractère stratégique.
Il faut ensuite transmettre les conclusions au niveau de décision compétent et apte à prendre les décisions, lesquelles devront ensuite être retransmises au niveau opérationnel apte à les mettre en œuvre.
Ces échanges font partie du cœur du système d’information de l’entreprise, dont on comprend dès lors le caractère stratégique.
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